Auteur : Robin Hobb
Traduction : Arnaud Mousnier-Lompré
Edition : J'ai lu
Traduction : Arnaud Mousnier-Lompré
Edition : J'ai lu
ISBN : 2290313238
Pages : 415 pages
Pages : 415 pages
RÉSUMÉ
A PROPOS
Mais prenez garde lecteur, ce qui suit dévoilera d'importants passages du premier tome, aussi, si vous ne l'avez pas lu, je vous déconseille de lire la suite. En revanche, je vous invite à lire cette page là.
MON AVIS
Au cours de ce roman on s’aperçoit que notre petit garçon, a bien grandi, il approche de l'âge où il sera un homme, il s'affirme d'avantage et découvre les prémices de l'amour.
Mais alors que la perversité et la malfaisance de l’antipathique prince Royal, toujours plus avide de pouvoir, sont trop facilement acquittées, on retrouve avec plaisir des personnages tels que : Burrich, Dame Patience ou encore le prince Vérité qui ne cesseront de protéger notre protagoniste. D'ailleurs, il en prendra lui même conscience à deux reprises !
Le Fou prendra ici une importance capitale, d'autant plus importante que dans "L'Apprenti assassin" puisqu'en plus de nous faire rire à de nombreuses reprises par son arrogance, il révèlera des paroles essentielles et emplies de sagesse à celui qui se nommera désormais FitzChevalerie Loinvoyant.
Un autre personnage, auquel je me suis beaucoup attachée, s'initiera au cœur de l'intrigue, il s'agit d'un jeune loup nommé tout simplement "Loupiot".
Le récit est plus lent que le précédent mais pas moins passionnant ni ennuyeux ! Les descriptions restent au rendez-vous en masse et on se fait un bonheur à imaginer personnages et décor.
Que dire ? GÉNIAL ! GÉNIAL et encore GÉNIAL ! C'est peut-être même un euphémisme...
QUELQUES CITATIONS
"Es-tu son médecin pour assener de tels jugements ? [...]
Car, assurément, tu en ferais un excellent. Rien que ton aspect me revigore et tes paroles dissipent tes vents comme les miens. Comme notre roi doit être bien soigné, lui qui se languit tout le jour en ta présence!"
"À quoi bon une petite vie qui ne change rien à la grande vie du monde ? Je ne conçois rien de plus triste. Pourquoi une mère ne se dirait-elle pas : Si j'élève bien cet enfant, si je l'aime, si je l’entoure d'affection, il mènera une existence où il dispensera le bonheur autour de lui, et ainsi j'aurai changé le monde ? Pourquoi le fermier qui plante une graine ne déclarerait-il pas à son voisin : Cette graine que je plante nourrira quelqu'un, et c'est ainsi que je change le monde aujourd'hui ?"
POUR ALLER PLUS LOIN
Vous pouvez consulter ma chronique du tome I en cliquant sur l'image ci-dessous :
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